Marie-Laure Allain Bonilla est doctorante en histoire et critique des arts à l’Université Rennes 2. Elle achève une thèse portant sur l’usage des théories postcoloniales dans les pratiques curatoriales de l’art contemporain depuis les années 1980. Elle a notamment coordonné un dossier sur le thème local/global (Revue 2.0.1, 2010), et publié sur la biennale de Johannesburg (Africultures, 2008 ; revue 2.0.1, 2009) ainsi que sur les œuvres de Tracey Rose (in Dislocation culturelle et construction identitaire, Université de Lorraine, 2012) et Guillermo Gómez-Peña (in Aborder les bordures: l'art contemporain et la question des frontières, La Lettre volée, à paraître fin 2013).