Partager

 
 
 
 

 

Se référant à l'histoire de l'art et au modernisme, le travail de Sarah Tritz opère des croisements stylistiques et temporels, par l’appropriation d’objets et de formes. Entre construction, déconstruction et associations libres, ses œuvres cristallisent des gestuelles immédiates, parfois maladroites, tremblantes mais assumées. C'est au regard de ses productions qui nous poussent en marge de toute classification artistique que nous prenons la mesure des diversions orchestrées par l'artiste, « comme une peinture éclatée et ouverte dans l’espace, incarnée par des volumes et des surfaces, peuplée de formes aussi bien anthropomorphiques qu’abstraites, essayant de préserver la perméabilité et les glissements entre ces catégories formelles et psychologiques ».