Lydia Amarouche passe presque toutes ses journées à Aubervilliers. Après des études de sociologie et d’histoire à l’École Normale Supérieure, elle poursuit aujourd’hui ses réflexions en croisant différentes pratiques : l’écriture, la création sonore, la vidéo, l’archive. Elle explore les histoires transportées, les existences instables et travaille actuellement à la réalisation d’un film documentaire, sur le lien entre histoire coloniale et langue maternelle.