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Génération Court 2025 — Finale "Films documentaires"

Ni Dieu, Ni Père, Paul Kermarec

 

GÉNÉRATION COURT 2025
FINALE "FILMS DOCUMENTAIRES"

[ festival international de courts-métrages]

 

Mardi 4 novembre 2025, 18h30
Aux Laboratoires d'Aubervilliers
Entrée libre sur réservation

Toutes les infos sur www.generationcourt.com

 

Né en 2006 dans les locaux de l’OMJA, Génération Court est à la fois un projet d’accompagnement et un festival dédié aux jeunes passionnés de cinéma en Île-de-France. Depuis 2024, les Labos accueillent certains temps-forts du festival.

 

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PROGRAMME

 

● Ni Dieu, Ni Père, Paul Kermarec : Ni Dieu Ni Père est un documentaire/fiction qui explore la relation intime qu'un jeune homme entretient avec Internet. Alors que l'absence de figure paternelle l'a poussé à chercher des réponses, il trouve en Google un mentor inattendu. De l’apprentissage des tâches quotidiennes, comme le rasage, à la découverte de connaissances plus profondes, l’algorithme devient bien plus qu’un simple moteur de recherche, brouillant ainsi les frontières entre réel et virtuel.

● Il va falloir qu'on leur dise stop, Julie Barrier : Mars 2023, les parisien.nes esquivent les montagnes de poubelles pour continuer leur chemin. Les syndicats ont appelé à la grève contre la réforme des retraites pour rendre visible le travail en l’arrêtant : « A un moment, il va falloir qu'on leur dise stop. »

Notre ligue des champions, Félix Lanaud : Pendant une saison sportive, j'ai suivi avec ma petite caméra le Ménilmontant Football Club 1871, qui joue et s'entraîne sur Paris et sa banlieue. Pourtant... je ne connais rien au football ! En fait, ce club est d'abord un outil politique, un réceptacle à de nombreuses formes de luttes et d'engagements de gauche radicale. Fumigènes, bagarres, bières, football et amitié : une saison riche en émotions !

La Station, Lisa Chapuisat : Une journée au comptoir de la dernière station uvale de France, à Marseille. Chaque jour, Yannis sert du jus de raisin frais dans des petites coupettes dorées. Des clients s'installent au comptoir et y laissent un peu d'eux-mêmes. Au rythme du travail et des rencontres, l'imaginaire prend parfois le dessus sur le réel, transformant la station en scène musicale. Un hommage à un lieu magique et désuet voué à disparaître.

  

 

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Avec l’OMJA, la ville d’Aubervilliers, le CGET, la CAF, l’EICAR, EuropaCorp, la Maison du Film